mardi 18 janvier 2011

Artension, « 100 artistes pour 100 paris pour le 21ème siècle »

« […] Sans tapage, avec une verité qui naît de son exigence envers son art, rejetant tout pittoresque comme toute velléité esthétique, l'artiste peint avec assurance.[…] Le tableau revendique cette rigueur dans une composition volontairement sobre plutôt qu'austère, qui vise à l'essentiel, la densité intérieure de la peinture. Ses scènes portuaires expriment l'essence des choses. […] L'eau glauque scintille sous la clarté de l'aube et du crépuscule. »

Lydia Harambourg, « De musées en galeries », La gazette de l'Hôtel Drouot, n°6 du 13 février 2009, article paru à l'occasion de l'exposition de Yannis Markantonakis à la galerie Prodromus, Paris.

« Il y a des peintures, comme cela, qui imposent l'attention, parce qu'elles vont au fond du mystère du regard ou de la représentation, au lieu le plus secret des cordes sensibles, avec une densité et une intensité particulière. Il en va ainsi de Corot, de Nicolas De Staël, de Morandi, de Serge poliakoff, d'Albert Marquet... et aussi de Markantonakis. […] »

Pierre Souchaud, Artension, Hors série n°3, « 100 artistes pour 100 paris pour le 21ème siècle », mars 2010.

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